Emmène-moi en... Nouvelle-Zélande
Cap plein sud. Très sud. Là où les fjords entaillent la roche, où les forêts ruissellent, où le vent parle plus fort que nous. La Nouvelle-Zélande fait partie de ces rares terres qui vous remettent à l’endroit sans hausser le ton. Weisse vous y conduit à sa manière : à contre-courant, à hauteur d’homme, avec une précision millimétrée. Lodges perchés, villas retranchées, retraites sculptées dans le silence. Chaque étape devient un poste d’observation. Survols de glaciers, marches à flanc de lande, dîners au feu de bois. Le superflu reste à la frontière.
Au plus près, les deux pieds sur terre
Ici, on avance au rythme du paysage. Pas de liste à cocher. Juste des lieux choisis pour ce qu’ils font résonner en vous. Des lieux qui parlent doucement, comme un feu qui prend son temps. On marche. On regarde. On se laisse attraper par le décor. Pas besoin de forcer. Juste ce qu’il faut pour ressentir.
C’est ce genre de voyage-là, enraciné dans le présent.
Allez, on y va.
On adore la Nouvelle-Zélande pour…

Un sentier grimpe, la neige craque sous les pas, puis soudain, un miroir de glace apparaît à 1 800 mètres. Lake Alta. Pur, silencieux, limpide comme un secret. On se tient là, face aux sommets, souffle suspendu. Aucun mot n’est nécessaire.

Des dauphins à l’aube, des albatros qui frôlent les vagues, des baleines au loin. Ici, la nature ne prévient pas, il faut juste être là.
Un air chargé de soufre, la terre qui bouillonne, une énergie ancienne qui remonte du sol. Un lieu qui expire lentement et vous apprend à écouter.

Un spot brut, quelques galets lissés, un vent qui appelle. On rame. On glisse. On revient, changé.

Un livre, une vue, un ciel plein d’étoiles. Pas de réseau. Pas de bruit. Juste le plaisir rare d’être exactement là où il faut.

Un bateau, une crique, une eau de verre. On jette l’ancre. On nage. On oublie l’heure.
Un festin cuit au hangi, le rythme d’un haka, la navigation en waka, l’art sacré du ta moko. Ce n’est pas une culture de musée. Elle est vivante. On ne visite pas Aotearoa. On s’y relie.
La sélection Weisse
Sur les rives du lac Wakatipu, à deux pas de Glenorchy et des plus beaux spots du Fiordland, Blanket Bay joue la carte de l’élégance alpine. Bois sombre, pierre brute, feu qui crépite et panorama infini. On vient ici pour se ressourcer, bien sûr, mais aussi pour vibrer. Hélico jusqu’aux glaciers, kayak dans les fjords, fly-fishing sur les rivières turquoise, golf avec vue ou VTT en pleine forêt primaire. Plongeon dans la piscine entre deux expéditions. Tout est organisé au cordeau, avec discrétion et panache. Et le soir, whisky au coin du feu, avant un dîner gastronomique dans le Relais & Châteaux, hommage aux producteurs de l’Île du Sud. C’est fort, c’est dense, c’est marquant.
Une ligne de montagnes d’un côté, l’océan de l’autre. Entre les deux, quelques cabanes dans les arbres, toutes tournées vers l’horizon. Bois brut, métal, volumes justes. Le lieu s’efface pour mieux cadrer la nature. À Kaikōura, les albatros rasent la mer, les baleines soufflent au large, les dauphins nagent à l’aube. Au sol, tout se joue à cheval, à vélo et dans l’assiette. Plus loin : sentiers moussus du Fiordland, vapeurs soufrées de Rotorua, crêtes lunaires du Tongariro, vagues mythiques de Raglan. On entre aussi dans l’âme maorie : festin au hangi, haka, navigation en waka, ta moko comme mémoire vivante. Pas de décor en trop. Juste ce qu’il faut pour pouvoir s’en passer. Une adresse rare, pour ceux qui regardent loin.
Trois montagnes, un lac, le silence. Et vous au milieu. Matakauri est une retraite raffinée, à quelques minutes de Queenstown. Façades sobres, suites vitrées, cheminée qui veille, et toujours ce face-à-face minéral avec les Remarkables. Les journées s’étirent : petit-déjeuner face aux cimes, survol des vallées du Milford Sound le matin, bush ou galeries discrètes l’après-midi, bain fumant le soir, seul face aux crêtes. On mange bien, on dort mieux. On pense. On arrête de courir. Et ça fait du bien!
Au bout d’une péninsule battue par les vents, Annandale aligne quatre villas introuvables, posées comme des vaisseaux dans les collines. Autour : criques désertes, collines verdoyantes, moutons en liberté. C’est le royaume du bout du monde. Quatre villas d’exception, dont une seule accessible… en hélico. La Seascape, toute en béton brut et baies vitrées, encadre l’océan comme un tableau mouvant. Une fois là, on reste. Balades entre les collines, massages face à l’horizon, pêche privée, bain extérieur sous les embruns, barbecue avec un chef privé ou marche en silence sur les crêtes. L’expérience est dense, sans foule, sans bruit. On ne fait pas semblant ici. Soit, vous tenez la solitude, soit elle vous tient. C’est le genre d’endroit qu’on garde pour soi.
















L’histoire
“Des montagnes comme des lames, des forêts qui suintent le silence, un air si pur qu’il pique un peu. On a atterri dans l’un de ces lodges hors réseau, où tu marches le matin, vous pêchez à la mouche à midi, et vous terminez la journée au coin du feu avec de l’agneau local et un pinot noir du cru. Si vous cherchez des randos en hélico, une vraie solitude et un confort sans concession, vous êtes au bon endroit.”
— Olivier Weisse
Localisation
Envie d’un voyage sur-mesure en Nouvelle-Zélande ? Avec Weisse qui orchestre chaque étape, il ne vous reste plus qu’à lacer vos bottes et à vous laisser guider par la nature. Des fjords aux volcans, des vallées silencieuses aux lodges perchés, ici, c’est le paysage qui mène la danse.
Prêt à disparaître des radars ?