Emmène-moi en... Zambie et à Madagascar
De la Zambie à Madagascar, nous vous emmenons sur une diagonale sauvage, là où la nature s’impose sans filtre. On commence dans le bush zambien : Luangwa, Zambezi, Busanga… Les scènes s’intensifient au fil des jours : un éléphant passe lentement à la lisière du bush pendant que vous l’observez depuis votre transat, léopards tapis dans les herbes, envol d’oiseaux par milliers à l’aube. Puis le voyage s’adoucit, cap sur l’océan Indien : Sainte-Marie d’abord, puis Tsara Komba. Lémuriens furtifs à l’aube, plages désertes, parfums d’ylang-ylang, forêt dense qui plonge jusqu’à la mer. Chaque camp est une vigie, chaque halte, une immersion. Ce n’est pas un simple safari : c’est une manière d’habiter le monde autrement.
Entre île tropicale et terres sauvages, un voyage en pleine amplitude
On voyage ici comme on respire. La terre change de visage à chaque horizon : savane dorée, rivière brumeuse, jungle humide, océan bleu profond. En Zambie, les plaines s’étirent à perte de vue, traversées par les éléphants et les lions dans la lumière du matin. À Madagascar, les forêts d’ylang-ylang s’ouvrent sur des criques de sable clair et des récifs où nagent des poissons multicolores. Les odeurs de terre chaude se mêlent au sel marin, le rugissement d’un lion au cri d’un lémurien. L’eau, la terre, le sel, la chaleur, tout parle le même langage. Entre la Zambie et Madagascar, la nature respire à plein souffle, libre, mouvante, essentielle.
Chaque paysage devient un battement, chaque horizon, une promesse.
On adore la Zambie et Madagascar pour…

Au petit matin, la lumière dore les plaines du Luangwa. On part en 4×4, moteur à peine audible, à la recherche des lions, des girafes et des troupeaux d’éléphants qui traversent la poussière. Chaque détour révèle une scène vivante, brute, suspendue.

En canoë ou en bateau, on avance au rythme de l’eau. Les hippopotames somnolent près des berges, les oiseaux s’élancent au ras de l’eau, et tout le paysage semble respirer à l’unisson du fleuve.

Tables dressées sur le sable, lanternes au vent, rires au bord du fleuve. Le luxe ici, c’est le temps qu’on laisse filer entre deux gorgées de vin blanc et le souffle du large qui remonte du courant.

Un survol en hélicoptère, le souffle coupé. L’eau s’élance dans le vide avec une force presque irréelle, embrassant la lumière avant de retomber en pluie fine.

Autour de Nosy Komba ou Tsara Komba, l’eau devient un miroir vivant. Les tortues avancent lentement, indifférentes au monde d’en haut. On flotte à leurs côtés, dans un silence d’azur.
La sélection Weisse
Ici, Chinzombo fait disparaître les murs. Six villas aérées, dissimulées entre les acacias, suspendues entre design contemporain et brousse originelle. Pieds nus, on glisse d’une piscine privée à un salon ouvert sur la savane, d’un massage à ciel ouvert à l’ombre d’un éléphant qui s’invite à l’horizon. Au programme : safaris à pied ou en bateau. Pas de foule, juste un guide, des traces fraîches et la densité du vivant. Les enfants, eux, suivent leur propre piste : atelier empreintes, observation des oiseaux, initiation aux constellations zambiennes. Et pour ceux qui veulent toucher la culture locale, cap sur Mfuwe. On y découvre le savoir-faire des tisserandes, les histoires des anciens, et cette manière bien zambienne de vivre le lien au vivant.
À l’ombre d’un acajou, la rivière s’étire doucement. Ici, les jours se vivent au rythme du fleuve : canoë au lever du jour dans la brume, pêche au tiger fish, croisière au crépuscule. On croise des léopards tapis, des éléphants nageurs, des lions sur les berges. La tente s’ouvre sur les herbes hautes, le bruissement des hippos en bande-son. Anabezi joue la carte du confort absolu, sans jamais étouffer le vivant.
Dernier virage. Le Zambèze ralentit, puis s’élance. À Royal Chundu, on vit au bord du fleuve, entre canoë au coucher du soleil, pique-nique sur une île privée et dîner à la lanterne. Spa sur pilotis, jardin médicinal, rencontres avec les artisans locaux. On finit par une croisière jusqu’aux chutes Victoria, spectaculaires et insaisissables, survolées en hélicoptère. Le bruit de l’eau, constant, devient un murmure intérieur. Promesse tenue.
Sur l’île de Sainte-Marie, Voaara repense le luxe façon slow-life : huit cottages bohème-chic sous toits de chaume, un esprit entre Tulum et Ibiza, posé délicatement sur 50 hectares entre forêt luxuriante et plages vierges. Imaginée par l’hôtelier suédois Philippe Kjellgren, cette adresse conjugue agroécologie, rencontres authentiques et bien-être holistique. Cuisine locale les pieds dans le sable, massages aux fleurs fraîches, yoga dans les jardins : une immersion élégante et consciente, loin de tout cliché.
Sur les hauteurs végétales de Nosy Komba, Tsara Komba se fond dans le relief, sans tapage. Quelques lodges ouverts sur la canopée, un jardin qui descend jusqu’à la mer, et cette lumière d’île qui fait tout le travail. Ici, on plonge avec les tortues et l’on explore les récifs coralliens de l’archipel de Nosy Be. Plus loin, le parc national de Lokobe déroule ses sentiers de latérite : caméléons tapis sous les feuillages, lémuriens furtifs entre les baobabs. Sur le chemin du retour, halte dans un village voisin, avant de se faire masser à ciel ouvert, huiles locales en main, mer en fond sonore. Le soir, langouste grillée, légumes du jardin, ciel étoilé. Pas de folklore, pas d’effet carte postale. Juste une île, et tout ce qu’elle donne.















L’histoire
“Des rivières pleines d’hippopotames, des pistes rouges après la pluie, un ciel si vaste qu’il avale le silence. À l’aube, on marche dans le bush, l’odeur de l’herbe mouillée dans l’air. À midi, on descend la rivière en canoë, les yeux à hauteur d’eau. Le soir, dîner sous les étoiles, un feu, un verre de vin, le cri des hyènes dans la nuit. Si vous cherchez l’immensité, les nuits sans électricité et la vérité brute du monde, vous êtes au bon endroit.”
— Olivier Weisse
Localisation
Envie d’un voyage sur-mesure entre la Zambie et Madagascar ? Avec Weisse aux commandes, il ne vous reste qu’à marcher pieds nus, lever les yeux vers les chutes, écouter le monde sauvage et vous laisser porter. Prêt à partir ?